mercredi 1 août 2007

Des journalistes au portail de la Présidence …. Du Peshmergas à outrance







Des journalistes au portail de la Présidence …. Du Peshmergas à outrance
En introduisant un demande d’audience avec le chef de l'Etat non pas pour une interview ; quelques confrères journalistes se proclamant pionniers des milieux de la profession , viennent de faire tomber le quatrième pouvoir dans le plus grand scandale de sa vie à savoir quémander discrètement aux portes de la Présidence de la République sous prétexte d’incapacité de poursuivre leur parution en raison d’innombrables charges consécutives aux charges d’impression, du personnel….etc. Cette attitude avilissante est celle d’un groupe de « mendiants intellectuels » appelés communément peshmergas qui n’a pas trouvé moyen pour bénéficier de la vigilance des hauts services de la Présidence de la République que taxer les autres confrères de la presse de peshmergas confondant ainsi leurs agissements à ceux des autres qui se sont contentés de leurs faibles moyens pour se débrouiller aux fins de garder un rythme régulier.
Cette nouvelle a été rapportée par des sources sûres et proches de la Présidence qui avancent comme argument de telle attitude, la crise financière que traversent ces journaux. Dés lors qu’il en est ainsi, il s’agit donc pour ces journaux de demander une audience avec le locataire du Palais ocre pour donner suite à leurs doléances, loin de toute entreprise publique de haut niveau, qui si elle arrive à se matérialiser doit se faire dans la transparence totale et dans la légalité.
Cette démarche honteuse que beaucoup de journaux ont dénoncée et condamnée pour le grand mal qu’elle cause pour la profession ne pourrait que porter atteinte aux valeurs nobles de la presse, qui est ...SUITE >>>>concernée dans toute sa globalité par la crise dont les journaux grands peshmergas susmentionnés se passent pour les seules victimes.
Certes, on n’est pas opposé au fait que le Président de la République décide de puiser sur ses fonds propres pour venir en aide à ces « mendiants intellectuels » - s’ils sont intellectuels !? Mais qu’il réalise que bien des ministres, des directeurs de société et des colonels se sont faits piégés par les lamentations de ces cols-blancs.
Toujours dans ce cadre, les journaux insistent auprès des autorités pour qu’elles se ressaisissent pour ne pas se laisser prendre par ces chantres et pour que toute subvention destinée à l’appui du quatrième pouvoir puisse être octroyée en respect de la réglementation en vigueur et en tenant compte de la dignité des journalistes.
Mais imaginons mes chers lecteurs ! La presse à la porte du palais ? C’est vraiment le summum du ridicule (comme diraient certain ...), comme quoi le ridicule ne tue pas ...

Ezza Mt Moulay El Hacen
ezza@pointschauds.info






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