L'hallucinante prestation de Monsieur Ahmed Ould Daddah à la TVM a fortement marqué le début de l'année 2008. De nombreux téléspectateurs ont découvert la face cachée de " Zaiim Al Mouarada ". Il vrai qu'il avait complètement raté son face avec Sidioca entre les 2 tours de l'élection présidentielle. C'était compréhensible car son contradicteur a été convaincant et l'a acculé sur tous les sujets abordés. Mais cette fois, il était l'unique invité de l'émission, et s'était entouré de ses partisans. Cela ne l'a pas empêché d'apparaître emprunté, colérique, dédaigneux et creux :
pas la moindre once de courtoisie ou de sens de l'humour, marques incontestables d'intelligence et de convivialité,
arrogance et mépris pour tous,
Un langage à la limite de la vulgarité symbolisé par son désormais légendaire : " Moyni ! ",
pas une seule proposition constructive, juste quelques portes ouvertes violemment enfoncées.
On comprend alors pourquoi celui qui était leader de tout, excepté le RDU et le PRDS, est aujourd'hui réduit à la présidence, pas de celle qui l'empêche de dormir, mais du RFD, arrière petit fils de l'UFD. Quelle déchéance ! Il devrait comprendre qu'il ne peut en aucun cas remonter la pente qu'il a lamentablement dévalé.
En 15 ans, Monsieur Ahmed Ould Daddah a réussi le tour de force de faire le vide autour de lui en s'aliènant le soutien d'hommes et de femmes de très grande valeur. La plupart de ses anciens compagnons sont partis et ont constitué leurs propres formations politiques. Il ne lui reste que le recyclage d'anciens caciques de Ould Taya qui ont perdu tous repères.
Grâce à lui, la CFCD qui regroupait 11 partis politiques en novembre 2006, est réduite à 5 dont 3 (UFP, RNDD et Hatem) sont quasiment en rupture de ban. Monsieur Ahmed Ould Daddah se retrouve aujourd'hui en tête à tête avec Monsieur Sarr Ibrahima dont le parti ne compte aucun parlementaire.
Avec un parcours, un profil et des performances pareils, on ne peut que dire : On l'a échappé belle !
Que serions devenus si Monsieur Ahmed Ould Daddah avait remporté les élections de mars 2007 ? Heureusement que c'est un looser invétéré, et la Mauritanie ne mérite pas une telle catastrophe.
pas la moindre once de courtoisie ou de sens de l'humour, marques incontestables d'intelligence et de convivialité,
arrogance et mépris pour tous,
Un langage à la limite de la vulgarité symbolisé par son désormais légendaire : " Moyni ! ",
pas une seule proposition constructive, juste quelques portes ouvertes violemment enfoncées.
On comprend alors pourquoi celui qui était leader de tout, excepté le RDU et le PRDS, est aujourd'hui réduit à la présidence, pas de celle qui l'empêche de dormir, mais du RFD, arrière petit fils de l'UFD. Quelle déchéance ! Il devrait comprendre qu'il ne peut en aucun cas remonter la pente qu'il a lamentablement dévalé.
En 15 ans, Monsieur Ahmed Ould Daddah a réussi le tour de force de faire le vide autour de lui en s'aliènant le soutien d'hommes et de femmes de très grande valeur. La plupart de ses anciens compagnons sont partis et ont constitué leurs propres formations politiques. Il ne lui reste que le recyclage d'anciens caciques de Ould Taya qui ont perdu tous repères.
Grâce à lui, la CFCD qui regroupait 11 partis politiques en novembre 2006, est réduite à 5 dont 3 (UFP, RNDD et Hatem) sont quasiment en rupture de ban. Monsieur Ahmed Ould Daddah se retrouve aujourd'hui en tête à tête avec Monsieur Sarr Ibrahima dont le parti ne compte aucun parlementaire.
Avec un parcours, un profil et des performances pareils, on ne peut que dire : On l'a échappé belle !
Que serions devenus si Monsieur Ahmed Ould Daddah avait remporté les élections de mars 2007 ? Heureusement que c'est un looser invétéré, et la Mauritanie ne mérite pas une telle catastrophe.
rasshmar .
via cridem
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